La zone 51
Le samedi 11 janvier avait commencé comme une journée tout à fait normale. Le météo était ensoleillée, les oiseaux chantaient, les banques se faisaient braquer, le maire massacrer et les policiers poutrer.
Cependant des événements étranges commencèrent à se produire vers 14 heure. On vit l'apparition de véhicules étranges, ainsi que l'éclosion d' œufs étranges s'en prenants aux citoyens, causant des troubles importants au sein de la population.
Nos journalistes ont ensuite repéré un drone enregistrant les réactions de la population qu'ils poursuivirent jusqu'à un hangar jaune assez suspect.
La police nous a incité à nous éloigner de manière assez musclée, lorsque que nous tentames de rentrer.
La zone a alors été déclarée interdite au public (et en particulier à nous). Le journaliste sur cette photo a été entraîné dans le bâtiment pour "violation du périmètre de sécurité".
Nous nous sommes alors replié à notre journal. Cependant nous avons rapidement remarqué que le gouvernement l'avait placé sous surveillance.
Néanmoins l'équipe d'investigation spéciale a réussie à en tirer partit : cette surveillance renforcé drainant les forces de police, la protection de la zone 41 s'était relâchée, leur permettant d'y pénétrer(déguisés en scientifiques). Mais ils ne s’attendaient pas à y trouver ça.
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un super calculateur?
Ils pratiquent des expériences humaines !
Notre équipe s'est fait repérée!
Elle a alors été arrêtée par la police, et nous ne l'avons plus jamais revue
Notre journal a alors été catégorisé comme nuisible par le gouvernement, décidant de nous éliminer ; plusieurs de nos journalistes ont étés grièvement blessés suite à des tirs de sniper.
L'évacuation du bâtiment a alors été décidée. Bien nous en pris car nos assaillants envoyèrent moult grenades par les fenêtres, détruisant nos infrastructure (ce qui est d’ailleurs la cause principale du retard de ce journal).
Nous décidâmes de jouer le tout pour le tout et, en marge de la légalité nous infiltrâmes la zone 51 par les égouts. Nous y découvrîmes plusieurs salles secrètes ainsi que les corps des journalistes précédemment arrêtés, ayant étés visiblement torturés.
Malgré notre chagrin, nous nous en enfumes avec le rapport sur les recherches y ayant eu lieu, détruisant ce que nous ne pouvions pas emporter.
Il semblerait que dans ce hangars avait lieux des expériences afin de fabriquer des drones ainsi que de renforcer la structures moléculaire d'humains afin de créer une armée résistant aux balles, visant à « protéger » la population.
La seul trace restante de ces expérimentations serait ce cobaye, actuellement recherché :
Guillaume Free,
Article du 11/01 publié le 19/01,
Journal de Lite City